Le conservatoire qui rebranche sur le NET ce que l’histoire a laissé derrière elle
Châssis 182C pour tiroirs interchangeables des années 1970 conçu pour faire concurrence à Tektronix.
Alimentation classique à transformateur à 50 Hz et régulation série d’où un poids important, une forte consommation électrique. (Les radiateurs extérieurs permettent d’éviter l’emploi de ventilateurs).
-Beaucoup de composants discrets du type transistors.
-Câblage sur circuits imprimés dorés.
-Écran à tube cathodique à déflexion électrostatique à luminophores bleus fortement actiniques (permettant un enregistrement plus facile par photographies du type ‘Polaroid’)
-Pas de mémoire ni analogique ni numérique.
Tiroirs interchangeables du type oscilloscopes, analyseur de spectre etc.
Analyseur de spectre en tiroir HP8558B.
Entièrement analogique : ce qui donne une imprécision de fréquence très importante de l’ordre du 1% ; c'est beaucoup plus que ce qui est rencontré dans les technologies récentes avec des boucles PLL référencées à des oscillateurs à quartz : précision d’au moins 10^-6.
La fréquence centrale affichée ici est de 91,9 MHz , ce qui correspond à la bande de radio-diffusion FM. Cette faible précision correspond à l’affichage réduit à 3 digits à segments led de couleur rouge ce qui signe une fabrication des années 1970.
-Gamme de fréquence de 0 MHz à 1500 MHz.
Pour réduire le nombre de boutons de réglage, il y en a des versions avec jusqu’à 3 réglages combinés
Exemples :
Bouton combiné de réglage d’amplitude :
Référence : Pas de 10 dB
Réglage continu pour l’intervalle de 10 dB.
Optimum avec bouton à pousser
Bouton combiné de réglage de balayage de fréquences
Span : Excursion de fréquence Ici 10 MHz : 1 MHz par division sur les échelles horizontales. Soit une variation de fréquence analysée entre 86,9 MHz et 106,9 MHz.
RBW : Bande passante de résolution
Performances globales obsolètes en 2011 sauf pour la fréquence de renouvellement des spectres : ce qui permet d’analyser correctement des impulsions radar.