Le conservatoire qui rebranche sur le NET ce que l’histoire a laissé derrière elle
Le capot est enlevé pour voir les différents mécanismes dont pourra admirer la complexité. Pour réduire les frottements et donc augmenter la sensibilité le fléau repose sur un plan en agate par l’intermédiaire d’un couteau en agate lui aussi. Ce même mécanisme est utilisé pour la suspension du plateau. La contrepartie de cette sensibilité consiste en oscillations du fléau qui durent longtemps.
La solution est l’amortissement par l’air par un ensemble de cylindres coaxiaux. Cet amortissement est d’autant plus fort que le plateau oscille vite et d’autant plus faible que l’oscillation est lente (frottement visqueux proportionnel à la vitesse et non thixotropique)
Les masses étalons d’équilibrage sont des cylindres en acier inox déposés par des crochets ou des anneaux qui ‘’tombent‘’ dans des encoches tout ceci selon des combinaisons ordonnancées par les molettes manipulées par l’opérateur. Tout est mécanique. Pour réduire leur inertie, les mécanismes sont réalisés au maximum en aluminium. La seule contribution de l‘électricité est l’éclairage de l’échelle mobile qui permet d’apprécier les mg.
Auteur | Ph. Maliet |
Créée le | Samedi 29 Avril 2006 |
Ajoutée le | Lundi 24 Mars 2008 |
Dimensions | 1024*768 |
Fichier | Balance_mecanique_precision_Sartorius_mecanisme_complet.jpg |
Poids | 227 Ko |
Tags | cadran, écran, équilibre |
Catégories | |
Visites | 9940 |
Note moyenne | 0.00 (noté 2 fois, écart type = 0.00) |
[0] Commentaires des utilisateurs