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mémoire à tores 384 bits_caisse enregistreuse années 1960
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Souris Tektronix 1969
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Terminal video Nixdorf orange
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carte memoire 900 tores NCR 1974
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L’informatique peut être vue sous beaucoup d’aspects.
Historiquement cela a commencé par l’automatisation des tâches répétitives du raisonnement humain comme les calculs, les classements de données. Cette informatique a débuté à la fin du XIXème siècle avec la mécanographie, les machines à calculer mécaniques et électriques, les règles à calcul.
A partir des années 1940, la disponibilité de composants plus rapides que les relais électromécaniques avec d’abord les tubes électroniques puis les transistors, et enfin les circuits intégrés a permis de réaliser des suites de calculs selon des algorithmes de plus en plus complexes. L’apparition des mémoires magnétiques sur bandes magnétiques, à tambour, puis à ferrites, puis des disques durs a permis d’augmenter la taille des programmes et du nombre de données traités simultanément. La diminution du prix, les connexions en réseau ont permis la généralisation de l’informatique de nos jours à pratiquement tous les objets pouvant être en relation directe avec l’homme.
La relation de l’homme avec les machines s’est d’abord faite par des cartes et des bandes perforées voire des panneaux d’interrupteurs, puis par des terminaux avec clavier du type machine à écrire. Sont arrivés ensuite les crayons optiques, les souris. La reconnaissance vocale commence à se répandre. On rêve de lire dans les pensées. La plupart des documents sont maintenant sous forme numérique et par définition ils ne peuvent qu’être créés et utilisés que par des objets à base d’informatique. Nous sommes envahis et nous le serons de plus en plus.
Historiquement cela a commencé par l’automatisation des tâches répétitives du raisonnement humain comme les calculs, les classements de données. Cette informatique a débuté à la fin du XIXème siècle avec la mécanographie, les machines à calculer mécaniques et électriques, les règles à calcul.
A partir des années 1940, la disponibilité de composants plus rapides que les relais électromécaniques avec d’abord les tubes électroniques puis les transistors, et enfin les circuits intégrés a permis de réaliser des suites de calculs selon des algorithmes de plus en plus complexes. L’apparition des mémoires magnétiques sur bandes magnétiques, à tambour, puis à ferrites, puis des disques durs a permis d’augmenter la taille des programmes et du nombre de données traités simultanément. La diminution du prix, les connexions en réseau ont permis la généralisation de l’informatique de nos jours à pratiquement tous les objets pouvant être en relation directe avec l’homme.
La relation de l’homme avec les machines s’est d’abord faite par des cartes et des bandes perforées voire des panneaux d’interrupteurs, puis par des terminaux avec clavier du type machine à écrire. Sont arrivés ensuite les crayons optiques, les souris. La reconnaissance vocale commence à se répandre. On rêve de lire dans les pensées. La plupart des documents sont maintenant sous forme numérique et par définition ils ne peuvent qu’être créés et utilisés que par des objets à base d’informatique. Nous sommes envahis et nous le serons de plus en plus.