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Galvanomètre vient du savant italien Galvani qui a découvert les courants électriques.
Un galvanomètre sert à mesurer des courants électriques.
Si l’appareil est mis en série, on a un ampèremètre. On cherche à avoir la plus faible résistance possible. C’est pourquoi pour mesurer les forts courants, on met un shunt en parallèle de faible résistance et l’ampèremètre n’est traversé que par des courants faibles.
Si l’appareil est mis en parallèle (entre deux potentiels différents), il peut justement servir à mesurer cette différence de potentiel V. C’est le fonctionnement en voltmètre. On cherche alors à consommer le moins d’énergie possible et cela revient à augmenter le plus possible la résistance interne et la sensibilité en courant. La tension est V = Rinterne x Imesuré.
C’est le savant français électro-physiologiste Arsène d’Arsonval qui a établi le modèle actuel un peu avant 1900. (Cité dans la galerie Documents pour la d’Arsonvalisation :D Arsonvalisation Science et Vie N4 juillet 1913 p10)
Le principe physique repose sur la force entre deux champs magnétiques qui exerce un couple contré par un ressort spiral. Un premier champ magnétique fixe est produit par un aimant permanent. Cet aimant magnétise un volume d’air de forme cylindrique grâce à un circuit magnétique en tôles de fer. Un second champ magnétique variable est créé par le passage du courant à mesurer dans un cadre rotatif tournant dans le volume cylindrique pré-magnétisé. La rotation est fonction du courant à mesurer, de l’intensité de la pré-magnétisation, des caractéristiques de la bobine et du couple de rappel exercé par le ressort spiral.
En redressant au préalable les courants par une diode, on peut mesurer des signaux alternatifs.
Ces appareils ont équipé tous les appareils de mesures électriques et électroniques jusqu’aux années 1975. Date à partir de laquelle ils ont été progressivement remplacés par les affichages digitaux.
On les rencontre néanmoins comme afficheurs analogiques dans les compte- tours, compteurs de vitesse des automobiles. Idem pour les instruments de bord des avions.
Les équipements professionnels du son en utilisent encore pour apprécier les modulations.
Néanmoins pour les mesures de grande précision, rapides, destinées à être enregistrées, ce type d’appareil est devenu obsolète.
On peut quand même noter que ce type d’appareil de mesure à l’avantage de ne pas nécessiter de source d’énergie extérieure plus ou moins fiable (batterie, pile, secteur). Donc à garder en secours…
Un galvanomètre sert à mesurer des courants électriques.
Si l’appareil est mis en série, on a un ampèremètre. On cherche à avoir la plus faible résistance possible. C’est pourquoi pour mesurer les forts courants, on met un shunt en parallèle de faible résistance et l’ampèremètre n’est traversé que par des courants faibles.
Si l’appareil est mis en parallèle (entre deux potentiels différents), il peut justement servir à mesurer cette différence de potentiel V. C’est le fonctionnement en voltmètre. On cherche alors à consommer le moins d’énergie possible et cela revient à augmenter le plus possible la résistance interne et la sensibilité en courant. La tension est V = Rinterne x Imesuré.
C’est le savant français électro-physiologiste Arsène d’Arsonval qui a établi le modèle actuel un peu avant 1900. (Cité dans la galerie Documents pour la d’Arsonvalisation :D Arsonvalisation Science et Vie N4 juillet 1913 p10)
Le principe physique repose sur la force entre deux champs magnétiques qui exerce un couple contré par un ressort spiral. Un premier champ magnétique fixe est produit par un aimant permanent. Cet aimant magnétise un volume d’air de forme cylindrique grâce à un circuit magnétique en tôles de fer. Un second champ magnétique variable est créé par le passage du courant à mesurer dans un cadre rotatif tournant dans le volume cylindrique pré-magnétisé. La rotation est fonction du courant à mesurer, de l’intensité de la pré-magnétisation, des caractéristiques de la bobine et du couple de rappel exercé par le ressort spiral.
En redressant au préalable les courants par une diode, on peut mesurer des signaux alternatifs.
Ces appareils ont équipé tous les appareils de mesures électriques et électroniques jusqu’aux années 1975. Date à partir de laquelle ils ont été progressivement remplacés par les affichages digitaux.
On les rencontre néanmoins comme afficheurs analogiques dans les compte- tours, compteurs de vitesse des automobiles. Idem pour les instruments de bord des avions.
Les équipements professionnels du son en utilisent encore pour apprécier les modulations.
Néanmoins pour les mesures de grande précision, rapides, destinées à être enregistrées, ce type d’appareil est devenu obsolète.
On peut quand même noter que ce type d’appareil de mesure à l’avantage de ne pas nécessiter de source d’énergie extérieure plus ou moins fiable (batterie, pile, secteur). Donc à garder en secours…